En ce qui me concerne lorsqu'un jeu m'accroche j'y joue de manière exclusive,
Souvent jusqu'à en comprendre tous les rouages, l'avoir exploré à fond jusqu'à me lasser.
"Mes jeux" sont exclusivement sur PC –
Certes il m'arrive de me détendre sur des jeux de consoles mais jamais en m'impliquant autant.
Mes jeux sur consoles :- J'ai débuté comme beaucoup avec
PONG il y a de cela un million d'années
- Puis j'ai eu la console "
INTELEVISION" – Que j'ai tué avec ma première TV
- Ensuite est venue ma période
GameBoy avec :
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Mario (Que j'ai mis un temps fabuleux à finir parce que les piles rendaient toujours l'âme avant la fin)
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Pokémon (Que j'ai découvert pendant la tempête de 1999… Il fallait bien s'occuper)
Puis est arrivé l'âge d'Or du PC (Je garde le meilleur pour la fin)
Aujourd'hui sur console je joue occasionnellement :
- Sur
PS2 : Quasi exclusivement jeu de
baston : Tekken, DBZ budukai, CDZ, soul calibur ….
- Sur
WII : Jeux de Fight également tels que Naruto, Capsunoko vs capcom …
Et pour la relaxation
Fishing resort (Le plaisir de la pèche sans se geler au bord de l'eau)
Les jeux PC auquel j'ai accroché (J'en ai essayé pas mal mas peu m'ont réellement retenus)
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Diablo 1er du nom : Pixélisé au possible, répétitif et moche… bref j'ai adoré !
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Starcraft, avec une nette préférence pour la nation Zerg dont le mode de développement sortait vraiment de l'ordinaire.
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Age of Empire : Ici ce qui m'a retenu longtemps c'est l'éditeur de campagne qui m'a permis de créer des scenarii complexe inspirés de l'histoire de France ou de vieilles légendes… que j'ai bien sur partagé sur le net.
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Diablo II : Le plaisir du premier Diablo avec en plus le Cube de transmutation runique et ses recette cachées…
J'ai stoppé du jour au lendemain le jour où, après avoir enfin droppé l'extrêmement convoitée "pierre d'âme de Diablo" (Vendu à l'époque 75 € sur E-bay) je me suis fait violement pirater mon compte battlenet.
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GuildWars : Là j'ai découvert le plaisir de jouer en guilde avec des joueurs qui sont devenus de véritables amis par la suite. C'est sur ce jeu que j'ai fais mes classes de Guilde Master pendant 2 ans… Ca a été également l'occasion de quatre réunion IRL mémorables d'une semaine chacune.
NB: Mes deux "généraux" de l'époque sont devenus mes meilleurs amis et sont les parrains de mes filles.
Nous avons tous trois quitté GuildWars par lassitude du jeu en lui-même : Les GvG avaient perdus de leur charme au fil des "améliorations"… trop techniques, plus de place à l'intuition… Et moi lorsque le plaisir de jouer cède trop de terrain devant la technicité je décroche… Quant au PvE nous en avions fait le tour depuis des lustres.
(A noter que je ne pourrais même pas utiliser le bénéfice de mon avancée PvE dans GW2 car mon compte de jeu a encore été piraté – Je suis maudit)
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Word of Warcraft : Très fun mais le système d'abonnement tue la mentalités des joueur (Je paie donc j'en veux pour mon argent) Donjons super techniques = Résultat j'en ai eu marre de payer pour me faire traîner de noob par des kikitoumou.
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Aion : Très beau et très bien fait, avec en bonus la possibilité de voler dans certaines zones… Juste le bonheur
A ceci près que pour suivre les batailles épiques à 300 vs 300 il fallait avoir une carte graphique made in Naza sous peine de la flamber illico…
Et un PvP omniprésent : Vous faite tranquille une quête PvE quand un gus de la faction adverse vous tombe sur le râble sans sommation et vous fait passer de vie à trépas sans que vous aillez compris le sens du mot douleur…
Pire le gus campe votre cadavre histoire de vous mettre une deuxième, puis une troisième … et si ça va bien une quatrième couche sur le nez.
En résumé : Trop beau pour qu'un PC de base le supporte et trop frustrant pour ne pas finir la soirée en explosant le clavier.
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Runes of Magic : Graphiquement bien fait, des quêtes intéressantes et variées, des possibilités de progression quasi illimitées, des donjons qui méritent le challenge…
Mais une communauté de joueurs volatile… Inconvénient des jeux dit "gratuit" : Si beaux soient ils ce sont des jeux kleenex qu'on jette sans un remord ou qu'on abandonne à la première difficulté.